Remembrance Requiem
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Quand la faucheuse réclame son dû...
 
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 Frederick Vivaldi

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Frederick Vivaldi
Frederick Vivaldi
Arthur
Arthur


Féminin | M e s s a g e s : 11
| H e r e . s i n c e : 28/06/2010
| Â g e : 30

Frederick Vivaldi Vide
MessageSujet: Frederick Vivaldi   Frederick Vivaldi Icon_minitimeLun 28 Juin - 13:40

Who are you ?
Here, even darkness can't hide you...

I d e n t i t é ;
.



Frederick Vivaldi Vivaldifrederickava
Feat Inconnu ♪.



    Me, myself and I.
    .

    Nom : Vivaldi
    Prénom : Frederick Andreas Juliet.
    Date de Naissance: 21 /11 / 1993
    Nationalité: Allemande
    Date d'arrivée à l'Orphelinat : 15 / 05 / 2006
    Qualités: Calme, intelligente, compréhensive, extravertie.
    Défauts : Possessive, lunatique, excentrique, curieuse, têtue.


C a r a c t è r e ;
.


What do you think ?
.

Pensionnaire rencontré dans un couloir.
« Comment dire… Elle est excentrique. Je ne sais pas comme l’expliquer, mais elle a une vision différente et parfois j’avoue que je n’arrive pas à la suivre. Souvent d’ailleurs, car ses humeurs sont changeantes et peuvent passer d’un extrême à un autre, au point que ça en devient effrayant. On ne sait jamais ce qu’elle pense, c’est un vrai puzzle, à chaque fois qu’on pense avoir trouvé un trait qui lui correspond, elle change. Pourtant, contre toute attente c’est aussi la première personne à voir quand vous allez mal, la première à vous tendre la main. Une main que vous pouvez refuser, mais elle est toujours tendue, et ne vous lâche plus. Elle ne cherche pas à savoir, elle agit sans avoir besoin d’utiliser de mots, non c’est son corps qui parle. Elle vous prête volontiers sa personne, sans jamais rien demander en retour. C’est étrange de dire ça, mais elle est gentille, sensible malgré l’indifférence qu’elle fait preuve. Toujours calme, elle ne montre pas ce qu’elle pense et ne donne son avis que si on le lui demande, et dans ses cas-là elle ne mâche pas ses mots, sa franchises est parfois déconcertante, mais aussi blessante. Je ne sais pas qui elle est vraiment, elle possède tant de facette, qu’il est dur de savoir laquelle est sa vraie personnalité. Mais il est certain qu’elle ne laisse personne indifférent. Elle a quelque chose de spécial, dans son regard, on ne voit aucune trace de faiblesse, non il n’y a que de la détermination et un peu de mélancolie. J’ai l’impression que c’est une personne blessée, meurtrie à l’intérieur même elle n’en montre rien, du moins elle prend soin de ne rien dévoiler. J’espère qu’un jour, elle trouvera quelqu’un qui pourra détruire ce cocon qu’elle s’est forgé pour se protéger, pour ainsi lui permettre de s’épanouir, de devenir une personne exceptionnelle, unique. Ne me parler pas de son fiancé, je l’ai vu en train de draguer une fille. D’ailleurs, lorsqu’elle les croise, elle les ignore, marche la tête haute, mais je sais très bien que sa fierté en prend toujours un coup, car une fois qu’elle n’est plus dans leur champ de vision, elle tremble. Et il est inutile de vouloir lui parler de lui, elle détourne les questions, donne des réponses évasives, change de sujet, et si on persévère trop, elle peut se montrer violente, agressive. Avant même qu’on lui reproche quoique ce soit, elle s’excuse mais pas toujours. Mais je sais qu’elle est possessive, extrêmement possessive, c’est juste sa fierté et son arrogance qui font qu’elle ne dit rien, du moins peut-être en public. Lui aussi doit l’être, c’est peut-être pour cette raison qu’elle essaie de le blesser à son tour, mais j’ai l’impression qu’elle est insensible à ses fait et gestes. Parfois, elle est à la limite de devenir hystérique, de sombrer dans la folie. Enfin, c’est ce que j’ai pu observer depuis quatre ans et je ne suis pas certaine de ce que j’avance. Je l’aime bien Frederick, elle est sympathique même si elle est étrange, sa compagnie est agréable. Il y a des jours où elle se montre ouverte, enjouée, et ces jours-là, c’est une fille comme les autres, tout à fait naturelle, souriante, séduisante. Volontaire, déterminée, mais débordant d’imagination, elle aime se faire des films, inventer la vie des privées des autres lorsqu’elle s’ennui. Je ne sais pas de quelle milieu social elle est issue, mais elle devait être riche avant d’arriver ici, ses manières, sa façon de paraître son irréprochable, en plus de toujours donner des ordres et de se montrer maniaque. La seule façon de savoir ses états d’âme, c’est lorsqu’elle joue de la musique, souvent les morceaux reflètent son état d’esprit. Mais Frederick c’est aussi la fille qui vous colle, vous harcèle jusqu’à obtenir satisfaction, elle vous suit, elle vous traque, son jeu favori ? Celui du chat et de la souris… que dire d’autre.. ? Si ce n’est qu’elle affectionne les lieux en hauteur. »



P h y s i q u e ;
.


What do you see in the miror ?
.


Elle était là, assise sur le rebord du balcon, Frederick. Ses deux fines jambes se balançaient doucement au dessus du vide, tandis que ses deux mains retenaient fermement le bord afin de maintenir cet équilibre crucial entre elle et le vide. Ses épaules en arrière, la tête relevé, de petit détail certes, mais Frederick se tenait toujours droite. Avant, j’aurai pu dire que sa longue chevelure tombait gracieusement jusqu’au bas du dos de la demoiselle, en cascade et s’agitait lentement au rythme du vent nocturne, mais le dire serait mentir. Ses cheveux d’un noir de geais étaient courts, c’était ainsi depuis quelque semaine. Cela ne l’a rendait pas davantage belle, elle l’a toujours été. Cependant, lors de son arrivée dans ce pensionnat, elle n’aurait jamais osé couper ses cheveux, on le lui avait toujours interdit… Mais depuis son arrivée, elle n’est plus aussi sage qu’avant, elle se dévergonde petit à petit, mais lui, lui ne le remarquera jamais. C’était peut-être pour cela que lorsqu’elle enroule une de ses mèches, un sourire mélancolique se dessine sur ses lèvres. Il lui avait toujours dit qu’il aimait ses cheveux soyeux, mais maintenant il ne dit plus rien. Jamais coiffé, ils ont gardés leur joli reflet rouge au soleil, et encadrent joliment son petit minois. Même si sa frange lui barre le visage, cela n’empêche pas de voir ses yeux dont les iris sont d’un bleu désarmant. Clair, vif, perçant, ils déstabilisent par leur bleu infini rappelant le ciel ou bien l’océan, mais aussi par leur intensité. On n’arrive jamais à lire ce qu’elle pense réellement, mais on peut savoir si elle vous regarde ou non. Souvent, comme en ce moment même, ils se font lointains, regarde-t-elle la lune ? Peut-être. Les sourcils fins, des cils nombreux, longs, rien de plus pour faire papillonner ses paupières. En dessous de son nez arlequin, une bouche légèrement pulpeuse, entre-ouverte. Des lèvres teintées d’un rouge naturel. Elle sourit souvent Frederick, par politesse, mais aussi, parfois pour exprimer sa joie. Elle a un jolie sourire vous savez, quand elle sourit, tous s’apaisent. Quand elle chante, tous rêvent. Quand elle parle, tous l’écoutent. Ses traits se décontractent, elle ressemble à une enfant lorsqu’elle rit, innocente, candide…Sa voix, un son cristallin aux tonalités aussi cajoleuses que sarcastiques. Si elle est agréable à observer, elle peut aussi devenir terrifiante. Se dessine alors sur ses lèvres un sourire odieux et brille dans son regard une lueur acerbe, froide, arrogante. Mais… vous savez, c’est une personne calme, ce genre de visage, elle le cache sous un masque d’hypocrisie. La colère, la jalousie ne sont des sentiments qui n’appartiennent qu’aux faibles, aux lâches, pour les contenir elle a plusieurs tics qui peuvent la trahir si on y prête suffisamment d’attention, des micro-expressions que tous possèdent. Enfin, retournons à notre description.

Le teint velouté, pâle dû aux longues heures passées enfermés ? Pas seulement, c’est génétique. Frederick pourrait restée au soleil pendant de longues heures, mais au final elle n’aurait jamais ce teint bronzé, hâlé, à son plus grand désespoir elle sera aussi rouge qu’une tomate, cramé par l’astre diurne. La peau claire lui donne des airs fragiles, de poupée, si seulement… Elle frappe fort la germanique, très fort. Ne vous fiez pas aux apparences, même issu de l’aristocratie, la jeune fille avait une réputation de garçon manqué. Ce soir, elle porte une robe de nuit, blanche, un peu transparente laissant apercevoir ses courbes. Elle a de jolies courbes, n’allant pas dans l’extrême, juste assez pour ne pas dire qu’elle est trop plate ou trop ronde, elle est dans les normes, et c’est toujours ça de gagner. Mademoiselle Vivaldi possède un corps élancée, mais aussi musclé, on ne le voit pas tout de suite, mais si on la met à côté d’une demoiselle qui fait la même taille qu’elle, c'est-à-dire un mètre soixante-treize, on pourrait constater des différences, notamment au niveau de leur silhouette. Les épaules plus carrés, des bras plus « épais » de même pour les jambes, mais aussi des abdos légèrement plus apparent. Frederick paraît vraiment plus « solide » de constitution. Frederick est jolie, peut-être peut-on dire qu’elle est belle ? Il ne faut pas exagérer, elle a son charme, un charme qui lui est propre mais elle n’est pas belle, juste jolie dans son genre. Pas de maquillage, cela reste jamais longtemps ce genre de truc en plus ça gâche le naturel… et la peau, en plus il en faut du temps pour mettre et enlever… Le naturel lui sied bien a notre allemande. Un peu de crème hydratante pour avoir une peau douce et clean suffit largement. Avouons que pour les soirées, elle pourrait le faire, mais c’est une flemmarde qui, le matin pense plus à manger que prendre du temps à se pouponner. Pas de vernis non plus, ça à mauvais goût, la demoiselle, lorsqu’elle réfléchit se mordille souvent les doigts, les ongles. Par contre, elle aime changer quelque fois la couleur de ses cheveux… Elle regarde par ici ! Cachez vous, sortez de la pièce, elle a déjà quitté le balcon et se dirige vers vous… !



H i s t o i r e ;
.

Do you remember ?
.

Extrait d’un journal d’enfance.
Frederick (11 ans).
Citation :

[…]
« Mère: femme qui a mis au monde un ou plusieurs enfants. »

Mère m’emmenait tous les dimanches à la messe, elle n’y allait pas pour le principe, elle priait avec ferveur. Elle m’interrogeait sur les sermons du prêtre, et souvent elle me racontait les textes sacrés. Elle voulait faire de moi une croyante, mais je manquais à cette époque cruellement de foi, je ne la comprenais pas mais je l’écoutais. Durant ces messes qui me semblaient interminable, souvent mon regard balayait la salle, et souvent je fixais longuement Mère. Elle ressemble à un ange avec ces longs cheveux blonds qui encadraient son visage si fin. Mais pour moi c’était une certitude, elle éblouissait, resplendissait, inspirait la pureté, la tendresse infinie, on m’avait donné cette mère pour veiller sur moi. Qui ? Dieu. Ce que j’aimais par-dessus tout, c’était me blottir dans ses bras, j’avais l’impression que sa poitrine, ses bras ne pouvait serrer que moi contre elle, ses formes épousaient les miennes. J’aimais poser mon oreille contre son cœur pour l’écouter battre, inspirer à pleins poumon le doux parfum qu’elle émanait, les gâteaux. Elle adorait en préparer et les savourer durant l’heure du thé dans le jardin. Sa voix était d’une douceur infinie mais parfois elle pouvait être terrifiante, notamment lorsque je lui désobéissais. Mais toujours elle me pardonnait. Avant de me coucher, elle me berçait, me murmurait au creux de l’oreille des mélodies, des airs dont la plupart était chanté par les chœurs à l’église. Ce sont les souvenirs qui me restent d’elle, car elle est partie en emportant avec elle toute la chaleur, la tendresse qu’elle me donnait. Elle avait laissé un grand trou, un grand vide autour de moi. Mon cœur saignait, mais elle n’était plus là pour le soigner. Solitude, si terrifiante, sombre, dans laquelle je me suis recroquevillée pour ne plus avoir froid, sans elle pour m’éclairer, le voile épais des ténèbres me semblait encore plus imposant, plus effrayant à affronter seule. Pourquoi ? Pourquoi m’avait-elle abandonné ? Je me souviens des paroles du prêtre lors de l’enterrement « Dieu vient de rappeler près de lui sa fille, chéri d’un homme, mère d’une fille… ». C’était de sa faute, c’était à cause de lui que je ne pourrai jamais la revoir, c’était lui qui m’avait enlevé l’objet de mes affections, c’était Dieu. Ne savait-il pas combien j’avais besoin d’elle ? Si, il devait le savoir, il est omniscient après tout. Mais pas seulement, il était aussi injuste, cruelle, sans cœur, et n’inspirait que de la haine, du mépris. Il me punissait pour une faute que je ne connaissais pas. Je n’avais que quatre ans, et déjà j’avais perdu une mère, je ne l’avais pas perdu, on me l’avait arraché. Qu’avais-je fais de mal ? Je ne sais pas. Il ne me restait d’elle que des souvenirs, mais plus je grandissais, plus ils s’effaçaient. J’avis oublier son prénom, mais père ne voulait pas me le dire, il ne voulait plus qu’on parle d’elle. Et c’était ainsi des le lendemain de son enterrement. Il devenait vraiment violent lorsqu’on parlait d’elle, il était cruel lui aussi.
Non, il l’est encore.

« Père : celui qui a un ou plusieurs enfants. »

Lui, un homme très beau, séduisant, grand, et charismatique, mais ambitieux. Lorsqu’il veut quelque chose, il fait tout pour l’avoir. Il ne connait pas l’échec, c’est un mot qui n’existe pas dans son univers. Il est toujours concentré sur son travail, si bien qu’il ne rentre presque jamais, à cause de lui, Maman était seule, Maman pleurait, Maman souffrait. Il n’avait qu’un mot à la bouche, « carrière », il ne s’était pas marié à ma mère, mais à son travail. Il était fou, mais « passionné » disait-elle toujours. Mon père, je ne le connais pas, il a toujours été une ombre dans mes souvenirs, ou bien un homme imposant qui inspirait la sévérité, la peur. C’est peut-être la raison pour laquelle, que quand cette femme est entrée dans la maison pour remplacer Maman, je n’ai rien pu dire, ni faire, j’étais figée et petit à petit, même à contre cœur j’avais accepté sa venue. Mais Papa, lui semblait toujours exclu dans mon monde, un pied entre le mien et l’extérieur. Je savais qu’il fallait de peu pour qu’il passe de l’autre côté, mais beaucoup pour qu’il revienne. Alors pour lui plaire, j’ai tout appris, tout fait, pour qu’il me reconnaisse, que son regard se pose enfin surmoi. Seulement, je n’ai jamais été doué, je n’ai jamais été un génie, j’ai travaillé dur, mais pas assez pour qu’il me remarque. Fille de riche, j’ai eu une éducation de petite fille d’aristocrate dans une école luxueuse mais j’étais trop banale dans ce milieu. Même la musique, le piano était une discipline que je n’étais pas la seule à maîtrise. En réalité, je n’avais rien à faire de ma vie, juste la vivre. J’avais tout à portée de moi, pourtant je voulais une chose qui ne pouvait pas s’acheter ; l’attention d’un père […].


Des pages déchirés, une histoire inachevée.


Son père n’était pas aussi insensible, c’était juste qu’il ne savait pas comment interpréter le rôle de père. La mort de sa femme fut une véritable déchirure pour lui, si douloureuse qu’il était hanté chaque nuit par les souvenirs qu’il avait d’elle, mais la honte le tourmentait aussi ; il avait abandonné sa femme et celui il ne se le pardonna jamais. Pour sa fille, il s’était remarié pour qu’elle ait une nouvelle mère. Monsieur Vivaldi était un homme bien, mais terriblement maladroit. Il fiança sa fille avec le fils de son meilleur ami, il voulait et souhaitais pour elle un avenir stable, mais surtout du bonheur. Les parents du jeune fiancé étaient des amis très chers à Monsieur Vivaldi, c’est peut-être pour cette raison qu’ils organisèrent des vacances ensembles.



Un accident arrive plus vite qu’on ne le pense.
Un défaut technique suffit pour qu’une tragédie s’actionne.
C’est comme cela qu’on perd des gens qu’on affectionne.
Il nous manque une chose dans ses moments, leur présence.




L e . m o n d e . d e s . r ê v e s ;
.


You have no choice...
.


Accès au monde des rêves du côté; Erèbe

Pseudonyme choisi dans le rêve; Servantès.

Apparence dans le monde;
Une silhouette d’un mètre soixante-dix, vêtue d’un costume élégant, pantalon noir, veste à queue de pie, chemise blanche, chapeau haute-forme, ainsi que des gants blanches. Homme ou femme, on ne peut le distinguer. Les cheveux mi-longs d’un rouge flamboyant retenu en queue de cheval par un lacet noir. Son visage est masqué, cachant la moitié de son visage, hormis ce nez fin, on ne peut voir que cet éternel sourire énigmatique. Le masque est blanc, mais est décoré de petite fantaisie dorée aux bords. Dans la poche de sa veste, près de son cœur, repose un tissu blanc, ainsi d’une rose de couleur bleu, mais parfois, cette rose change de couleur, mais souvent, elle est bleue. Dans sa poche de pantalon, on y trouve une montre gousset. Il possède aussi une jolie canne.




W h e n . d a r k n e s s . t u r n s . to . l i g h t ;
.

Stop dreaming !
.

Comment avez-vous connu le forum ? ; Par les Admins ♪
Avez-vous des suggestions à faire ?; Non, pas pour le moment.
Combien de temps pourrez vous accorder au forum ? ; Allez savoir, lorsque j'aurai du temps voyons .
C o d e ; Je m'aime ♥ {Code bon by Kate} pour vous servir Ladies & Gentlemens



Dernière édition par Frederick Vivaldi le Mar 6 Juil - 13:21, édité 10 fois
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